Energia jądrowa trwa nadal na świecie

[Christophe]

Ouais sauf que :

IRSN_serie_fiches_tirs_08-2015.pdf

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Produits de fission : sous l'impact d'un neutron, le noyau de l'atome d'Uranium 235 ou de Plutonium 239

Il n'y a pas d'Uranium 235 dans une bombe H... https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombe_H

Screenshot 2022-03-21 at 17-31-25 Bombe H — Wikipédia.png (39.78 Kio) Consulté 1537 fois

Les bombes A utilisant de l'U235 n'existent plus (du moins pas en Russie...) et ce tableau ne serait valable que pour Hiroshima !

Jmais trompais ou pas ?

Bombe H « propre »
Les militaires parlent de bombe H « propre » lorsque moins de 50 % de son énergie totale provient de la réaction de fission. En effet, la fusion seule ne produit directement aucun composé radioactif. Les retombées radioactives d’une bombe H « propre » seraient donc a priori moins importantes que celles d’une bombe A classique de même puissance, alors que les autres effets restent tout aussi dévastateurs. La différence provient de la conception de l'étage de fusion. Si le tampon est en uranium, alors il fissionnera, libérant ainsi la moitié de la puissance de la bombe, mais provoquant 90 % des retombées radioactives. En le remplaçant par un tampon en un autre métal lourd, mais non fissible, comme le plomb, la bombe perdra la moitié de sa puissance, mais avec des retombées bien plus faibles.

Bon physicien nucléaire c'est un métier et c'est pas le mien..

ps: ça confirme bien que tu t'es gouré dans ton précédent raisonnement...

[Christophe]

L'iode n'apparait même pas dans ce graphique :

Screenshot 2022-03-21 at 17-40-36 Les retombées en France des essais nucléaires atmosphériques - IRSN_serie_fiches_tirs_08-2015.pdf.png (206.54 Kio) Consulté 1524 fois

Mais vas y continue de défendre la malhonnêteté de l'équipe de bouffon 1er...

[Christophe]

Et après on trouve : pas plus de 1 Bq par L de lait depuis 1965...alors qu'on a une radioactivité naturelle en Alsace de 40 000 Bq/m2...

Vachement efficaces donc les pastilles d'iodes...

Bon ok d'accord tu vas nous dire que si ca pète c'est plus près que les essais étrangers...oui !

Mais bon si ca pète je crois que votre cancer de dans 10 ans on s'en branle un peu !!

Screenshot 2022-03-21 at 17-44-31 Les retombées en France des essais nucléaires atmosphériques - IRSN_serie_fiches_tirs_08-2015.pdf.png (275.53 Kio) Consulté 1520 fois

Dommage il manque Tchernobyl...

[sicetaitsimple]

ps: ça confirme bien que tu t'es gouré dans ton précédent raisonnement...

Ben voyons, la fission du Pu ne produit pas d'iode131.....
Masz rację....

[Christophe]

…t’es incorrigible…

[Christophe]

89 des 97 réacteurs US en activité ont déjà leurs licences prolongées à 60 ans et 6 d'entre eux ont déposé une demande de prolongation supplémentaire pour 80 ans. L'exploitation sous contrôle de l’ASN au-delà des 42 ans de Fessenheim était possible.



80 ans au lieu des 20, 30 ou 40 ans de la conception initiale c'est quand même pousser le bouchon un peu loin non ?

[izentrop]

Si les 306 étaient entretenues comme des centrales nucléaires, elles pourraient faire plusieurs millions de kilomètres.

[Exnihiloest]

89 des 97 réacteurs US en activité ont déjà leurs licences prolongées à 60 ans et 6 d'entre eux ont déposé une demande de prolongation supplémentaire pour 80 ans. L'exploitation sous contrôle de l’ASN au-delà des 42 ans de Fessenheim était possible.
...

La faute aux écolos si l'un d'eux pète. A force d'avoir taper sur le nucléaire et d'avoir fait pression pour le renouvelable inefficace, il y a eu peu ou pas d'investissement dans le nucléaire, et même des suppressions. Et maintenant que tout le monde comprend, même une partie des écolos c'est dire que c'est gros, que le nucléaire est la seule alternative crédible au charbon et au pétrole, on se retrouve avec de vieilles centrales, et en nombre insuffisant.

[phil59]

Sur les 54 ou 56 réacteurs, je sais plus trop, il y avait plus de 10 arrêtés en février-mars, il me semble, et pourtant on a eu assez de jus.

Uniquement que du nucléaire n'est pas possible, on aura toujours besoin de gaz, fuel, charbon, pour les piques d'énergie, des choses qui peuvent monter très vite en puissance.

Bien sûr qu'il vaut mieux du gaz, aux autres.
Je ne pense pas que 100% nucléaire soit possible.

On pourrait être contre les éoliennes, je peut encore comprendre, vu le financement profitant plus à des groupes extra-français, certains y trouvent de l'intérêt, vu la part de subvention, qui ne retourne pas le porte monnaie "France".

De là à les enlever ...

Les éoliennes sont une solution pour l'hydrogène pour le transport, avec le surplus de production, à mon avis.

Avec le covid, on a pris de retard sur la maintenance des réacteurs.

Pour moi, il ne faut pas du nuc à outrance, mais le minimum vital, mais c'est sûr qu'il en faut, et le maintenir en état.

Je reste convaincu que le VE peut être aussi une solution au pétrole. Je ne crois pas trop pour le véhicule particulier à l'hydrogène.

Une partie peut rester au pétrole, c'est pas forcément gênant, le tout est de trouver un bon équilibre, entre bénéfice, et .... bénéfice, malheureusement. Ne pas détruire des VT, vieux, qui sont encore bon, même un peu polluant, mais favoriser le VE, pour le neuf, et pratiquement rien en VT ...

Y a t'il une étude quelconque qui puisse dire qu'il autant de central nuc, et autant de gaz, etc ? (pour les piques).

Le vent, il y en aura de plus en plus, par contre, le bon soleil pour les panneaux solaires, ne sera peut être plus aussi important ....

[Christophe]

Je poste ici ces quelques pages d'analyses sur les énergies et le nucléaire que m'a envoyé un visiteur.

Titre : L'Apogée du Nucléaire

L'apogée du Nucléaire.pdf

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Intro et conclusion :

L’apogée du nucléaire, c’est déjà du passé ...

Omniprésentes à partir du milieu du XX siècle, les applications scientifiques, militaires, énergétiques des principes de l’énergie nucléaire se sont peu à peu imposées pour culminer dans les années 80. Toutefois, depuis une trentaine d’années, de nombreux procédés basés sur des principes totalement difféérents ont remplacé la plupart de ces applications de l’énergie nucléaire, qui avaient été pourtant présentées comme indispensables et éternelles.

Il n’y a guère que dans les domaines militaire et celui de la production d’énergie électrique que se pose l’éventualité du renouvellement des flottees de réacteurs électrogènes, alors que partout s’imposent les énergies renouvelables du fait de leur moindre coût. Leur « intermitteence », longtemps présentée comme rédhibitoire, est en passe d’être surmontée.

(...)

Wniosek ogólny

Le Nucléaire est toujours très présent dans les débats et controverses que propose l’actualité. La découverte de la radioactivité naturelle, de l’uranium, du thorium puis de la radioactivité artificielle ont permis au XX siècle de nombreuses utilisations scientifiques et industrielles, avec toutefois des inconvénients techniques et financiers, et notamment la gestion des déchets radioactifs à très long terme ( plusieurs millénaires voire millions d’années ).

La plupart de ces usages ont désormais été remplacés J il n’y a guère que dans les domaines des armements stratégiques et de la production d’énergie électrique qu’ils continuent à jouer un rôle singulier. Les énergies renouvelables dont on ne perçoit pas encore toutes les potentialités tiennent déjà le rôle principal J le potentiel quantitatif des renouvelables ne paraît pas avoir de limites. Après une longue phase de maturation entre le 1 er choc pétrolier de 1973 et le 1er Plan Energie-Climat de l’Europe en 1998, le déploiement a commencé en Europe et aux USA avant de se propager dans le monde entier durant la décennie 2010.

Contrairement à la plupart des publications actuelles, qui promeuvent une électrification systématique des usages et donc l’éradication de la plupart des usages des énergies carbonées, ce document tient à montrer qu’il serait judicieux de conserver une partie d’entre-elles, grâce à la possibilité méconnue de recyclage du carbone déjà contenu dans l’atmosphère, lequel est non-fossile puisqu’il n’y as pas d’augmentation de la quantité totale de gaz carbonique ils ont d’incomparables capacités à stocker l’énergie solaire, plus que surabondante à la surface de la Terre. De plus, ce sont les mêmes solutions actuellement en développement ( la capture du CO2 atmosphérique, le stockage géologique ) qui sont envisagées pour de futures « émissions négatives », indispensables dans les siècles futurs pour ramener la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère au niveaux antérieurs.

Un nouvelle ère des énergies est en train d’émerger