Czy lubisz truskawki?

Odnawialne źródła energii, za wyjątkiem energii słonecznej lub termicznej (zobforums dedykowane poniżej): turbiny wiatrowe, energie morskie, energetyka hydrauliczna i wodna, biomasa, biogaz, głęboka energia geotermalna itp.
Denis
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przez Denis » 28/04/08, 16:19

oui , dommage qu'il y ai toujours le grand nimportequoi de masse ! , pour moi les fraises pas avant juillet : Chichot:
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przez Christine » 28/04/08, 16:20

Christophe napisał:arretez d'acheter certains produits et vous verrez ce qui se passera...To nie jest krzyczenie na ulicy, płacz i narzekanie na całe życie kontynuując smarowanie systemu, że uda nam się go zmienić...

Jeśli po 2 sezonach duże zakłady będą miały 50% niesprzedanych truskawek, to można być pewnym, że w 3 sezonie kupią mniej...


Oui, sauf que la majorité des consommateurs ne souhaite pas que ça change : "le juste prix est le prix le plus bas".

Mettons un rayon de fraises d'espagne à 1,59 €/ 500g et à côté un rayon de garriguettes françaises à 2,69 €/ 250g ( vécu ) .... devinez quel rayon il faudra recharger plusieurs fois par jour ?

Je me souviendrai toujours de ce petit apéro où la conversation a glissé vers la fabrication "maison" de vins et de sirops de fruits, et qu'une personne est intervenue le plus sincèrement du monde en disant " je ne vois pas l'interet de s'embeter à faire ses propres sirops : moi j'achète ceux de chez Aldi, ils sont pas chers et je les trouve bons." . Bref, c'est pas gagné .
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przez Denis » 28/04/08, 16:24

:zaszokować: ça craint , moi je prefère attendre la saison pour payé resonablement et tres peu chère car ramasser au champs, une économie de mains d'oeuvre pour le producteur(oui le chomdu , je sait :zmarszczyć brwi: !!! ) tout le monde est content ! et les fraises n'ont pas le gout de l'eau!!
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przez Christophe » 28/04/08, 16:38

Christine napisał:Oui, sauf que la majorité des consommateurs ne souhaite pas que ça change : "le juste prix est le prix le plus bas".

Mettons un rayon de fraises d'espagne à 1,59 €/ 500g et à côté un rayon de garriguettes françaises à 2,69 €/ 250g ( vécu ) .... devinez quel rayon il faudra recharger plusieurs fois par jour ?


Ben c'est bien ce que je dis: c'est pas la faute du producteur ni du vendeur mais de l'acheteur...qui achete...

Pour le prix, l'autre jour à Bouillon au marché j'ai trouvé pire: 7.5€ les 500 grs...faut quand meme pas déconner et à ce prix là même si c'est de Wepion je regarde pas...

Christine napisał:moi j'achète ceux de chez Aldi, ils sont pas chers et je les trouve bons." . Bref, c'est pas gagné .


Tiens en parlant d'Aldi : Evil: j'ai été contrain d'y passer dernierement, les "faux" Pringles sont à 1€ la boite maintenant : Chichot: :zaszokować: ...les vrais (bien meilleurs et en boite plus grande sont à 1,5€ dans les supermarché classiques et souvent moins cher en promo)...alors à votre avis, qui fait le plus de marges ? Aldi ou les autres?

J'ai quand meme fait "une affaire" en achetant 2 albums de Tintin à 5,29€ (à la place de 10 ou 11€)...merde j'ai cautionné le systeme discount... :płakać: Dommage y en avait que 2 :( : Mrgreen:
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przez jc-tergal » 28/04/08, 19:48

faites plus simple: allez faire vos courses sur le marché: moins cher. Qualite tip top et les vendeurs suivent le rythme des saisons. Du moins sur les petits etals des producteurs locaux. Et en plus ca fait fonctionner l'economie locale, le bilan carbonne est bien meilleur et on a une meilleure vision de la production...
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przez momotopo » 28/04/08, 22:14

en attendant d'avoir l'âge de les sucrer, j'ai reçu ce mail l'autre jour. A vous de juger


Sujet sensible : ne vous laissez pas abuser !!!



Sujet : fraises, catastrophe écologique et sociale !!



fraises , abstenez vous !!!
pas de fraises en mai , ni en juin
en attendant la saison (juillet - août)... et les productions locales ..

Bardzo informujące !

D'ici à la mi-juin, la France aura importé d'Espagne plus de 83 000 tonnes de fraises. Enfin, si on peut appeler «fraises» ces gros trucs rouges, encore verts près de la queue car cueillis avant d'être mûrs, et ressemblant à des tomates. Avec d'ailleurs à peu près le goût des tomates...



> > Si le seul problème posé par ces fruits était leur fadeur, après tout, seuls les consommateurs piégés pourraient se plaindre d'avoir acheté un produit qui se brade actuellement entre deux et trois euros le kilo sur les marchés et dans les grandes surfaces, après avoir parcouru 1 500 km en camion. À dix tonnes en moyenne par véhicule, ils sont 16 000 par an à faire un parcours valant son pesant de fraises en CO2 et autres gaz d'échappement. Car la quasi-totalité de ces fruits poussent dans le sud de l'Andalousie, sur les limites du parc national de Doñana, près du delta du Guadalquivir, l'une des plus fabuleuses réserves d'oiseaux migrateurs et nicheurs d'Europe.



Il aura fallu qu'une équipe d'enquêteurs du WWF-France s'intéresse à la marée montante de cette fraise hors saison pour que soit révélée l'aberration écologique de cette production qui étouffe la fraise française (dont une partie, d'ailleurs, ne pousse pas dans de meilleures conditions écologiques). Ce qu'ont découvert les envoyés spéciaux du WWF, et que confirment les écologistes espagnols, illustre la mondialisation bon marché.



Cette agriculture couvre près de six mille hectares, dont une bonne centaine empiètent déjà en toute illégalité (tolérée) sur le parc national. Officiellement, 60% de ces cultures seulement sont autorisées; les autres sont des extensions «sauvages» sur lesquelles le pouvoir régional ferme les yeux en dépit des protestations des écologistes.



Les fraisiers destinés à cette production, bien qu'il s'agisse d'une plante vivace productive plusieurs années, sont détruits chaque année. Pour donner des fraises hors saison, les plants produits in vitro sont placés en plein été dans des frigos qui simulent l'hiver, pour avancer leur production. À l'automne, la terre sableuse est nettoyée et stérilisée, et la microfaune détruite avec du bromure de méthyl et de la chloropicrine. Le premier est un poison violent interdit par le protocole de Montréal sur les gaz attaquant la couche d'ozone, signé en 1987 (dernier délai en 2005); le second, composé de chlore et d'ammoniaque, est aussi un poison dangereux: il bloque les alvéoles pulmonaires.




Qui s'en soucie? La plupart des producteurs de fraises andalouses emploient une main-d'oeuvre marocaine, des saisonniers ou des sans-papiers sous-payés et logés dans des conditions précaires, qui se réchauffent le soir en brûlant les résidus des serres en plastique recouvrant les fraisiers au coeur de l'hiver.

Un écologiste de la région raconte l'explosion de maladies pulmonaires et d'affections de la peau.



Les plants poussent sur un plastique noir et reçoivent une irrigation qui transporte des engrais, des pesticides et des fongicides. Les cultures sont alimentées en eau par des forages dont la moitié ont été installés de façon illégale. Ce qui transforme en savane sèche une partie de cette région d'Andalousie, entraîne l'exode des oiseaux migrateurs et la disparition des derniers lynx pardel, petits carnivores dont il ne reste plus qu'une trentaine dans la région, leur seule nourriture, les lapins, étant en voie de disparition. Comme la forêt, dont 2 000 hectares ont été rasés pour faire place aux fraisiers.

La saison est terminée au début du mois de juin. Les cinq mille tonnes de plastique sont soit emportées par le vent, soit enfouies n'importe où, soit brûlées sur place.

Et les ouvriers agricoles sont priés de retourner chez eux ou de s'exiler ailleurs en Espagne. Remarquez: ils ont le droit de se faire soigner à leurs frais au cas ou les produits nocifs qu'ils ont respiré ...

La production et l'exportation de la fraise espagnole, l'essentiel étant vendu avant la fin de l'hiver et jusqu'en avril, représente ce qu'il y a de moins durable comme agriculture, et bouleverse ce qui demeure dans l'esprit du public comme notion de saison. Quand la région sera ravagée et la production trop onéreuse, elle sera transférée au Maroc, où les industriels espagnols de la fraise commencent à s'installer. Avant de venir de Chine, d'où sont déjà importées des pommes encore plus traitées que les pommes françaises...



PAR Claude-Marie Vadrot

Politis jeudi 12 avril 2007




NB N'hésitez pas à faire connaître ceci à vos amies et amis...



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przez Christophe » 28/04/08, 23:15

momotopo napisał:en attendant d'avoir l'âge de les sucrer, j'ai reçu ce mail l'autre jour. A vous de juger


Hum hum...as tu lu le 1er message du sujet? : Chichot:
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